Kitana n’avait pas donné d’explication. Elle avait juste dit : « Suis-moi. Je ne suis pas là pour me battre. » Mileena l’avait suivie par instinct, les bras croisés, le regard noir. Dans cette pièce, deux hommes les attendaient. Nus. Durs. Elle avait cligné des yeux. « C’est ça ton idée ? C’est pour m’humilier encore ? » Kitana ne répondit pas. Elle s’agenouilla calmement. Mileena resta debout, méfiante. Mais elle finit par la rejoindre. Quand les sexes se présentèrent, elle pencha la tête, fronça le nez. L’odeur était forte, vivante. « Qu’est-ce que tu veux que je fasse avec ça ? » souffla-t-elle, presque agacée. Kitana, sans détourner les yeux, dit simplement : « Fais comme moi. »
Mileena ouvrit la bouche, puis la referma. Ses crocs n’étaient pas faits pour ça. Elle jeta un regard bref vers sa sœur. Kitana était là, tranquille, concentrée, la langue sur la hampe, pas encore en bouche. Mileena grogna : « Tu sais très bien que je peux pas faire comme toi. » Kitana répondit sans élever la voix : « Alors adapte. Mais ne lui fais pas de mal. » Le sexe devant elle pulsait légèrement. Elle hésita, puis tendit la langue. C’était chaud. Salé. Fort. Une odeur de peau, de sueur, d’homme. Elle n’avait jamais goûté ça. Elle lécha à nouveau, plus lentement. Le goût lui restait sur la langue. Elle n’osait pas en faire trop. Elle regardait Kitana du coin de l’œil. Juste pour vérifier qu’elle faisait à peu près bien.
Quand les deux hommes ont joui, elles n’ont pas bronché. Le sperme a giclé sur leurs visages, sur leurs cous, jusqu’à la base des seins. Kitana a gardé les yeux fermés, paisible. Mileena, elle, a sursauté, puis ri. Un rire étouffé, presque enfantin. Elle avait du sperme plein les dents, sur la joue, jusque dans les cheveux. Elle a tourné la tête vers Kitana, sans oser la regarder vraiment. « J’ai aimé. » Kitana a posé sa main sur la sienne, sans parler. Ce n’était pas parfait. Mais pour Mileena, c’était une première fois. Et c’était de l’amour.
Kitana hadn’t explained. She simply said: “Follow me. I’m not here to fight.” Mileena followed out of instinct, arms crossed, eyes wary. In the chamber, two men waited. Naked. Hard. “This your idea? You want to humiliate me now?” she snapped. Kitana didn’t answer. She calmly knelt down. Mileena hesitated, tense, but joined her. When the cocks appeared, she leaned back slightly, frowning. The scent was strong, alive. “What do you expect me to do with that?” she hissed. Kitana, still focused, replied: “Do as I do.”
Mileena opened her mouth, then closed it. Her fangs… she couldn’t. She glanced at her sister. Kitana was steady, her tongue gently brushing the shaft. Not yet taking it in. Mileena growled: “You know I can’t do it like you.” Kitana’s voice stayed calm: “Then adapt. But don’t hurt him.” The cock twitched in front of her. She hesitated, then leaned forward. It was hot. Salty. Strong. The scent of skin, sweat, man. She’d never tasted anything like it. She licked again, slower. The taste lingered. She didn’t dare go further. She watched Kitana from the corner of her eye, trying to copy — roughly, but sincerely.
When the two men came, neither flinched. The semen splashed across their faces, necks, down to their chests. Kitana kept her eyes closed, serene. Mileena jerked slightly, then laughed — a stifled, almost childlike sound. Her mouth, her cheek, even her hair was streaked with cum. She turned toward Kitana, not quite daring to meet her eyes. “I liked it,” she whispered. Kitana laid a hand over hers, without speaking. It wasn’t perfect. But for Mileena, it was a first time. And it was love.