Elle ne lui avait pas parlé. Mais elle se souvenait de lui. Hier, il ne l’avait pas fui. Il avait regardé sa bouche sans reculer. Alors aujourd’hui, elle l’avait retrouvé, seule, sans Kitana. Elle s’était approchée lentement. Il n’avait pas bougé. Elle avait levé la main, posée doucement sur sa verge, et il avait bandé aussitôt. Elle n’avait pas compris pourquoi… mais elle n’avait pas eu peur. Elle voulait savoir. Ce que ça ferait, de le faire elle-même.
Il était chaud, vivant, tendu. Elle ne le mettait pas en bouche. Elle ne le pouvait pas. Mais elle le sentait. L’odeur, déjà, lui revenait. Le sel, la peau, cette tension sucrée qu’elle avait entrevue sur les lèvres de Kitana. Elle tenait la base, lentement. Observait le sommet, fascinée. Ses crocs ne servaient à rien ici. Elle n’en avait pas besoin. Il ne criait pas. Il respirait fort, mais sans peur. Et cela, pour elle, c’était déjà un miracle. Elle faisait de petits mouvements, réguliers, sans force. Juste de va-et-vient. Et il se mettait à trembler dans sa main.
Quand il a joui, elle n’a pas bougé. Le sperme l’a touchée — sur la joue, la main, un peu dans les cheveux. Elle a senti la chaleur, regardé couler, sans comprendre pourquoi c’était si doux. Ce n’était pas comme frapper. Ce n’était pas comme mordre. Il lui avait donné. Et elle avait pris. Sans détruire. C’était petit, trouble, collant… mais c’était à elle.
She hadn’t spoken to him. But she remembered him. Yesterday, he hadn’t fled. He’d looked at her mouth without fear. So today, she found him again. Alone. Without Kitana. She approached slowly. He didn’t move. She raised her hand, gently placed it on his cock, and he hardened instantly. She didn’t know why… but she wasn’t afraid. She wanted to know. What it would feel like, to do it herself.
He was warm, alive, tense. She didn’t take him in her mouth. She couldn’t. But she felt him. The smell returned — salt, skin, that sweet tension she’d glimpsed on Kitana’s lips. She held the base, slowly. Studied the tip, fascinated. Her fangs were useless here. She didn’t need them. He didn’t cry out. He breathed hard, but not in fear. And for her, that was already a miracle. She stroked him, small, steady movements. Just back and forth. And he began to shake in her hand.
When he came, she didn’t flinch. The semen hit her — cheek, glove, a little in her hair. She felt the warmth, watched it flow, not understanding why it felt so gentle. It wasn’t like striking. It wasn’t like biting. He’d given it to her. And she’d taken it. Without destroying. It was small, messy, sticky… but it was hers.