Elle ne croyait pas à ces histoires. Mais depuis sa dernière défaite, l'idée ne la quittait plus. Certaines guerrières prétendaient améliorer leur souffle au combat grâce à un entraînement peu orthodoxe. Ce soir, Kitana voulait tester. Seule. Sans spectateur. Le corps de l'homme était allongé devant elle. Ce n'était pas pour lui.
Elle se pencha au-dessus de lui et prit son sexe en bouche, sans mot. Elle ne cherchait pas à plaire. Juste à ressentir. À forcer sa gorge, à gérer l'angle, le rythme, l'étouffement. Elle allait et venait avec régularité, les bras en appui, concentrée sur le moindre tressaillement, sur chaque reprise d'air par le nez. Ses yeux restaient ouverts. Tout était sous contrôle.
Quand il jouit, elle sentit la chaleur jaillir contre son palais. Elle ne s'arrêta pas. Elle encaissa, puis avala lentement, sans se presser, comme une forme de maîtrise. Elle se redressa ensuite, respira à fond. Plus profondément qu'avant. Et se remit debout. L'entraînement avait porté ses fruits.
She didn’t believe those stories. But ever since her last defeat, the idea stuck. Some warriors claimed to improve their breath control through unconventional training. Tonight, Kitana would test it. Alone. No witnesses. The man’s body was lying before her. This wasn’t for him.
She leaned over and took his cock into her mouth without a word. She wasn’t trying to please. Just to feel. To push her throat, manage the angle, the rhythm, the choking. She moved with steady cadence, arms braced, focused on every twitch, every inhale through her nose. Her eyes stayed open. Everything under control.
When he came, she felt the warmth flood her mouth. She didn’t stop. She took it, then swallowed slowly, unhurriedly, like a form of discipline. Rising again, she inhaled deeply. Deeper than before. And stood. The training had paid off.