Leur grâce fut conditionnelle. Dans la salle du trône, Kitana et Jade durent s’agenouiller. Aucun cri, aucun jugement. Seulement l’ordre ancestral : sucer, devant tous, et garder le sperme sur leur visage plusieurs jours. Un rituel d’humiliation pour racheter leur vie.
Elles obéirent. Le sexe dans leurs mains, entre leurs lèvres, elles se mirent à l’œuvre. Pas un regard entre elles, mais une même cadence, une même tension dans les gestes. La salle entière observait, en silence. Tout était pesant : la salive, les odeurs, le poids du rituel.
Quand les hommes jouirent, ce fut brutal. Deux jets puissants, l’un après l’autre, éclaboussèrent les visages royaux. Kitana ferma les yeux. Jade resta droite. Les gouttes perlaient sur leurs joues, leurs mentons, jusque dans le cou. Elles n’essuyèrent rien. Elles n’en avaient pas le droit.
Their pardon came with conditions. In the throne room, Kitana and Jade had to kneel. No shouts, no judgement. Just the ancestral decree: suck, in front of all, and keep the semen on their faces for days. A ritual of humiliation to redeem their lives.
They obeyed. Cocks in hand, lips parted, they went to work. No glances exchanged, yet their rhythm was synchronized. The whole room watched in silence. Everything felt heavy: the spit, the smells, the burden of the rite.
When the men came, it was harsh. Two strong bursts, one after the other, splashed across their royal faces. Kitana closed her eyes. Jade stayed still. Drops trickled along their cheeks, down to their necks. They did not wipe a thing. They weren’t allowed to.